mardi 6 mars 2012

De Tarsila à Dilma...

Le Brésil anthropophage,

Le sens d’un mouvement culturel n’est jamais fermé, et se poursuit dans la ou les réceptions qu’en font individus, groupes constitués ou instances officielles dans les générations suivantes.

Ainsi est-il toujours intéressant, significatif ou problématique, d’observer de loin la postérité du Modernisme brésilien au Brésil même, au cours du siècle écoulé, mais encore dans le Brésil d’aujourd’hui, ce Brésil post-Lula, marqué par une volonté politique renouvelée (en même temps que féminisée en son sommet) et une santé économique qui finit, semble-t-il, par avoir quelques retombées sur l’action culturelle, en surface ou en profondeur — de consigner, par exemple, les discours et usages (créateurs, culturels, médiatiques, politiques, diplomatiques...) auxquels peut donner lieu le plus fameux tableau de l’icône du Modernisme pictural, l’Abaporu (1928) de Tarsila do Amaral.












Dilma... nossa









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