mardi 6 mars 2012

CARNAVAL : L’Anthropophagie, aujourd’hui en scène

Oswald de Andrade
Brésil



l’Anthropophagie oswaldienne peut devenir une solution pertinente pour la redéfinition de la culture contemporaine.

La plus excitante de l’Anthropophagie, déjà entrevue de manière visionnaire par ce grand anthropophage qu’est Arthur Rimbaud : « Je est un autre ». Et ce n’est qu’à travers l’autre que nous pouvons connaître (un peu) de nous-mêmes.
Dans le monde actuel, caractérisé par un flux incessant d’information, allié à une pluralité vertigineuse de moyens de communication, peut-être n’y a-t-il pas de tâche plus importante que le développement d’une imagination théorique capable de traiter des données issues de circonstances et de contextes multiples.


l’Anthropophagie oswaldienne est comprise comme la promesse d’une imagination théorique de l’altérité, à travers l’appropriation créative de la contribution de l’autre. »






















Le Carnaval permet que se développe un modèle théorique d’appropriation de l’altérité.







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