A Pura E.Castellanos Chamizo
Poésie et spiritualite
s'unissent pour franchir le chaos
de l'incertain dans l'existence au-delà du visble.
CPER Axe 1, atelier 1 : Action
Traditions lyriques populaires et savantes
Journée d’études du vendredi 30 avril 2010,
Université de Nantes
UFR de Psychologie- salle 116 (Bâtiment Tertre)
Organisation: Andy Arleo (CRINI, Université de Nantes), Sandra Hernández (CRINI, Université de Nantes), Pascal Terrien (CERCI, Université Catholique de l'Ouest)
Administration et logistique : Mathilde Corbin et Solène Macé
9h30 : Accueil
10h00 : Price, Jeremy Price, Université de Poitiers, MIMMOC,
Les travaux de recherche sur la musique et les langues et civilisation étrangères entrepris par le groupe de recherche MIMMOC (Mémoires, Identités, Marginalités dans le monde occidental contemporain) de l'Université de Poitiers
10h30 : Marlène Belly, Université de Poitiers, MIMMOC
La chanson de tradition orale francophone, les traces écrites de l'oral
11h00 : Licia Bagini, Univeersité de Poitiers, MIMMOC
La Gatta Cenerentola de Roberto de Simone.
11h30 : Jean-Charles Khalifa, Université de Poitiers,MIMMOC
Pas de deux : linguistique de corpus et musique traditionnelle
12h30 : Déjeuner (préciser lieu)
14h00 : Terrien Pascal, Université Catholique de l'Ouest, CERCI
Sumidagawa, de la musique traditionelle à la musique contemporaine.
14h30 : Benoît de Cornulier, Université de Nantes, détaché à l'Institut d'Etudes Avancées de Nantes, Laboratoire de Linguistique de Nantes / Centre d'Etudes Métriques
Poésie murale à Nantes
15h00 : Sandra Hernandez, Université de Nantes, CRINI
La tradition du 'son' cubain dans la poésie de Nicolas Guillén
15h30 : RIVERO Francisco Rivero, peintre Paris
"Sones", dialogues imaginaires
16h00 : Discussion : Monter un projet sur les traditions lyriques populaires et savantes ?
18h00 : Fin de la journée
19h30 : Dîner à l'Espace Culturel Louis Delgrès, 89 Quai de la Fosse, Nantes, tram Chantiers Navals suivi d'un "boeuf" (apporter vos instruments et vos voix !)
Le maillot de la chance
1950 - 2010
Football et superstition iront toujours de pair.
La défaite en finale de la Coupe en 1950, face à l'Uruguay, - ce qu'on a appelé "l'Affaire du Maracana" - a marqué les esprits. Les joueurs portaient alors le maillot blanc, deuxième couleur de la sélection brésilienne, aussi, les joueurs et les supporters prirent-ils en grippe cette couleur qui symbolisait pour eux la terrible défaite sportive.
En 1958, lors de la finale de la Coupe contre la Suède, pays invitant, les deux équipes portaient la même couleur jaune. Il y eut tirage au sort, et le Brésil perdit : il devait porter le maillot blanc. La menace d'un traumatisme s'abattit alors sur les joueurs et leurs accompagnateurs. Sur ce, le chef de la délégation brésilienne, Paulo Machado de Carvalho, se souvint que sur le drapeau brésilien il y avait une autre couleur, ni jaune ni blanche : la sélection brésilienne jouerait avec un maillot bleu, couleur du manteau de Notre Dame d'Aparecida. On acheta donc de toute urgence des maillots bleus dans les magasins suédois. On ôta les numéros et les insignes des les maillots jaunes pour les mettre sur les maillots bleus. Les couturiers amateurs furent le médecin et le masseur de l'équipe.