Le sens d’un mouvement culturel n’est jamais fermé, et se poursuit dans la ou les réceptions qu’en font individus, groupes constitués ou instances officielles dans les générations suivantes.
Ainsi est-il toujours intéressant, significatif ou problématique, d’observer de loin la postérité du Modernisme brésilien au Brésil même, au cours du siècle écoulé, mais encore dans le Brésil d’aujourd’hui, ce Brésil post-Lula, marqué par une volonté politique renouvelée (en même temps que féminisée en son sommet) et une santé économique qui finit, semble-t-il, par avoir quelques retombées sur l’action culturelle, en surface ou en profondeur — de consigner, par exemple, les discours et usages (créateurs, culturels, médiatiques, politiques, diplomatiques...) auxquels peut donner lieu le plus fameux tableau de l’icône du Modernisme pictural, l’Abaporu (1928) de Tarsila do Amaral.
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